Légitime Préférence : Interview de Timothé Vorgens !

Timothé Vorgens nous fait le plaisir de répondre à nos questions au sujet de la sortie de son récent livre "Légitime Préférence", sortie aux éditions "Legatum Publishing". Lisons à présent ses réponses...

Bonjour Timothé Vorgens,

Nous allons vous interviewer aujourd'hui pour en savoir plus sur votre livre "Légitime Préférence" qui est actuellement disponible à la vente.

Q : Pouvez-vous vous présentez en quelques mots pour cette interview ?

R : Avec plaisir. Je suis un papa de 49 ans, avec deux enfants en bas âge, un Papa-si-tard si on veut, preuve que l’on peut parvenir au but même en s’y prenant tard et qu’il ne faut jamais baisser les bras.

Je suis également l’organisateur des deux premiers camps d’été Suavelos en 2017 et 2018. Suite à quoi j’ai gagné le procès que la licra m’a intenté il y a deux ans, et à qui j’ai eu le plaisir de verser la somme de 0 euro, ce qui est toujours agréable.  Réaliste racial depuis de nombreuses années, co-fondateur des Braves avec Daniel Conversano, et auteur depuis peu, d’un livre intitulé Légitime Préférence.

Q : Pourriez vous résumez de la manière la plus concise possible ce qu'est la Légitime préférence ? Quel est le substrat ultime que vous pourriez extraire de votre livre pour donner l'eau à la bouche de vos futurs lecteurs ?

R : C’est l’attitude la plus positive et la plus rationnelle que nous puissions avoir envers notre vaisseau racial, qui consiste à Avantager le groupe humain à qui nous devons tout, plutôt que les groupes à qui nous ne devons rien.

C’est le fait de réserver toutes nos qualités, de bonté, d’intelligence et d’attention, à notre endo-groupe Européen.

Le Préférisme est donc une rupture avec l’arriération que représente l’universalisme. C’est la fin de l’obligation d’aimer ceux qui n’ont rien à voir avec nous et rien à faire chez nous, et la possibilité d’exprimer cette distance que nous voulons mettre entre eux et nous. C’est le retour d’une valeur antique fondamental : le Storgê ou amour clanique.

C’est enfin une contestation du droit peccamineux.  Le droit peccamineux désigne une conception dans laquelle un état se croit autorisé à juger certaines actions comme s’il s’agissait de péchés. Ainsi le « racisme ». Le fait de ne pas vouloir louer son appartement à un non Blanc par exemple, est bêtement considéré comme une sorte de péché dans notre système actuel. C’est ça le droit peccamineux et c’est évidemment irrationnel, car nous ne pouvons pas contrôler nos préférences, or on nous les reproche.

On juge quelque chose contre lequel nous ne pouvons rien : L’absence de désir envers les non Blancs, et le désir stable et rationnel de vivre entre nous.

C’est une conception rétrograde des choses qu’il faut démanteler. La Légitime Préférence est fondamentalement un progrès juridique de ce point de vue. Et pour que ce progrès ait lieu, il faut en formuler le concept.

Q : Au delà de ce résumé, y-a t-il encore d'autres messages clés que vous souhaiteriez faire passer à vos lecteurs à travers ce livre ?

R : Oui. La Légitime Préférence est vraiment le mode de vie le plus épanouissant. C’est l’association humaine la plus rationnelle et la plus joyeuse que vous puissiez expérimenter. Lorsque cet ingrédient vous manque vous devenez déprimés sans même comprendre pourquoi. Lorsque vous vous mettez à défendre vous-même des conceptions différentes de la LP, (le nationalisme civique notamment) vous diminuez votre propre capacité au bonheur collectif.

On entend souvent l’expression « Vivre sa meilleure vie », mais paradoxalement ce sont souvent les gens privés du droit à la  LP qui en parlent comme de quelque chose qui pourrait se produire, quelque part, un jour lointain.

Votre « meilleure vie » se trouve pourtant simplement parmi les vôtres.

Enfin, devant l’évidente liquéfaction des nations historiques qui est en cours, nous devons faire surgir la Nation Profonde, cette autre nation qui est en nous ; portée par nos gènes et gouvernée par nous-même :  La solidarité et la proximité d’avec nos semblables Blancs.

J’ai voulu forger une expression pour décrire cette pulsion de sympathie fraternelle.

Q : Quelle a été votre principale motivation pour écrire un livre sur ce thème ?

R : L’argent facile et la renommée mainstream.   A moins que ce ne soit le désir de faire gagner du temps aux Blancs. Je veux que mes enfants, et bientôt nos descendants, puissent dire lorsqu’ils seront adultes : « C’est vrai qu’avant vous n’aviez pas le droit de préférer vivre entre Blancs ? »  et que ça leur semble à peine croyable.

Ma motivation c’est la certitude de la Victoire.

Q : Est ce que votre expérience personnelle a influencé d'une quelconque manière l'écriture de votre livre ?

R : Ce sont mes lectures qui ont influencé l’écriture. Le style je veux dire. Mais le fond est nourri de certaines de mes expériences en effet.

J’ai longtemps milité dans des structures classiques et j’aurai sans doute besoin de quelques semaines et d’un peu d’alcool pour tout raconter d’une traite.

Donc oui les expériences passées, très nombreuses, ont beaucoup fait travailler les idées que j’ai tenté d’exprimer.

Q : Avez vous rencontré des difficultés au cours de l'écriture de votre livre ? Y a t-il eu des défis à surmonter ou tout le processus de rédaction s'est t il déroulé sans difficulté et s'est avéré limpide ?

R : Au début l’écriture a été difficile, c’est très souvent le cas je l’ai écrit en m’occupant de mes enfants et les idées sont venues en cascade, obligeant à réécrire, modifier, retoucher.

La présence de mes enfants a compliqué la tâche d’écriture mais a rendu le contenu plus concret.  J’ai écrit en pensant leur décrire ce pourquoi nous sommes tous engagés dans cette bataille.
Et puis le confinement m’a aussi aidé en m’obligeant à rester attelé à la tâche.

Je remercie donc le gouvernement d’avoir contribué à l’écriture de cet ouvrage.

Il faut toujours voir le cotés positif des choses quand on a besoin d’énergie mentale.

Pour finir certains passages ont été beaucoup plus aisés à écrire, celui notamment sur la métaphore des grands parents ainsi que celui sur le « Grand Frère ». Ces deux-là sont venus d’une traite, comme deux souvenirs vivants qui avaient besoin de prendre l’air.

Q : Quelle cible, quels spectateurs espérez-vous toucher principalement ?

R : Mon but est de parler à ce que j’appelle « L’Européen Global ». Ce sont les Blancs qui se sentent solidaires entre eux partout dans le monde, qui éprouvent une sympathie spontanée pour les Blancs conscients du monde entier.

Ça ne récuse pas le nationalisme, dont je ne suis pas un adepte à vrai dire, c’est tout simplement autre chose.

C’est pour ça que le livre est déjà traduit en anglais d’ailleurs. Puis plus tard dans d’autres langues européennes. On veut en faire un petit manuel de l’Européen décomplexé.
Par ailleurs la haine anti Blanc s’est globalisée. Il faut donc obligatoirement globaliser la solidarité pro Blanc. Penser les choses en termes de « révolte des nations », comme des entités isolées qui manifestent dans leur coin ne correspond pas au Zeitgeist de notre époque.

Comme Jared Taylor, je prône l’accroissement de cette sympathie afin que l’on puisse se synchroniser pour affirmer ensemble le même droit : Le droit de se Préférer nous-même sans demander la permission à maman-république, qui en l’occurrence est pour nous l’équivalent de Folcoche dans « Vipère au poing ».

Q : Vous prônez le concept de légitime préférence en tant qu'Européen, mais ce concept peut-il être universel selon vous ?

R : Pour être franc je l’ai conçu en ayant à l’esprit l’intérêt de mes frères et sœurs Européens de corps et d’esprit, comme on disait à l’époque de Suavelos. Beaucoup de non Blancs peuvent avoir des attitudes de préférence très similaires sans doute, mais les façons européennes d’appliquer cette stratégie resteront probablement spécifiques. Donc oui, le principe est universalisable, mais la manière de le faire doit nous être propre.

Q : Quel impact espérez-vous provoquer avec votre livre "légitime préférence"?

R : Je souhaite qu’il installe l’expression « Légitime Préférence » dans les esprits. Ce sera la première étape. Que les gens aient ce concept quelque part dans leur cerveau, parce que la guerre commence toujours par les mots. Qu’on sache que ce droit est en train de pousser et qu’il est trop légitime pour qu’il y ait une marche arrière. Ensuite il faudra aller sur le volet juridique et même constitutionnel de ce concept, parce que c’est là que se joue les choses.

Mais l’idée c’est de dire « Un progrès identitaire est en route et il a rendez-vous avec l’histoire» ; pour paraphraser cette immense intellectuelle africaine (dont le nom m’échappe) qui était venu sur le plateau de Ce Soir Ou Jamais expliquer que le Grand Remplacement était inévitable : « ça va arriver, même si ça vous fait peur, ça va arriver ».

Q : Comment anticipez-vous la réception de votre livre, en particulier dans le contexte actuel?

R : Il provoquera le mépris absolu des souverainistes, c’est une première certitude. Sur ce point on sait que ce sont des gens fiables.

Mais j’espère néanmoins que certains d’entre eux voudront relever ce qui leur apparaitra comme une limite voir, une contradiction interne. Ce serait l’occasion justement de lever les paradoxes de surface et montrer la cohérence de cette position inhabituelle.

Ensuite j’espère que les lecteurs comprendront que ce droit n’est pas une option. C’est soit nous affirmons le droit de nous préférer, soit ce siècle passera pour rien puisque sans ça, tout pourrait recommencer malgré d’éventuelles victoires politiques. Il faut constitutionaliser ce droit.

Q : Envisagez vous d'approfondir davantage ce sujet ou d'explorer d'autres thèmes liés à la légitime préférence ou à l'Européanité ?

R : Je vais bien sûr l’approfondir ce n’est que le début, mais d’autres thèmes importants comme le paganisme philosophique et culturel doivent être traité en profondeur. J’y travaille déjà, notamment avec la chaine The Era’s Antidote qui sortira bientôt et fera la synthèse de toutes ces notions.

Merci beaucoup d'avoir répondu à nos questions !

Merci à vous de me les avoir posé !

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